Ô Seigneur incomparable, sois un refuge pour ce pauvre enfant, un maître bon et indulgent pour cette âme errante et malheureuse.
Ô Seigneur, bien que plantes insignifiantes, nous appartenons à ta roseraie. Bien que jeunes pousses sans feuilles ni fleurs, nous grandissons dans ton verger.
Aussi, nourris cette plante des ondées de ta tendre miséricorde, ravive et rafraîchis ce jeune plant par la brise vivifiante de ton printemps spirituel. Souffre qu’il devienne vigilant, réfléchi et noble, permets qu’il parvienne à la vie éternelle et demeure à jamais dans ton royaume.